4 décembre 1991, inauguration officielle de l’Espace Pasolini.
4 décembre 2016 : 25 ans !
Notre page Facebook a été l’endroit pour replonger dans 1/4 de siècle : photographies, articles de presse, flyers…
Mais nous avons également reçu les impressions de personnes qui font vivre ce lieu – amis, proches, spectateurs, artistes…
Si vous le souhaitez, vous pouvez toujours partager avec nous un moment, un souvenir de l’Espace Pasolini, sous la forme qui vous convient (photo, dessin, court texte etc.) . Ce sera ‘L’Espace Pasolini vu par…’
Si vous le souhaitez, vous pouvez toujours partager avec nous un moment, un souvenir de l’Espace Pasolini, sous la forme qui vous convient (photo, dessin, court texte etc.) . Ce sera ‘L’Espace Pasolini vu par…’
Nous sommes à l’écoute : accueil[at]espacepasolini.fr. N’hésitez pas !
Cela fait donc un quart de siècle que nous allons à l’Espace Pasolini. Au début, c’était pour le théâtre, les colloques sur Pasolini, Holderlin, la tragédie grecque.
Puis la danse est venue qui, chaque mois de novembre, nous procure des plaisirs inespérés. Philippe Asselin a , par ailleurs, repris de ses années de jeunesse le travail sur la musique et le rythme, la poésie pure. On y rencontre aussi performeur et performeuses qui habitent poétiquement le lieu de leur corps comme ils habitent le monde. Nathalie sème les rêves pour les enfants et les parents.
Alors, longtemps, longtemps encore, nous y retournerons.
J J Potaux
Merci beaucoup Jean-Jacques !
Longtemps, longtemps encore… Oui !
Un petit témoignage d’Antoine Defoort, membre de l’Amicale de Production (‘Germinal’, ‘Un faible degré d’originalité’…) & artiste associé avec Le Phénix, scène nationale de Valenciennes
« L’Espace Pasolini, ça a été en quelque sorte mon école du spectateur.
J’y ai été emmené les premières fois par ma maman, j’avais, mettons, 14 ans (c’était par conséquent pas longtemps après l’ouverture),
Et puis après j’ai habité non loin, pendant mes premières années à l’université, et j’allais voir la plupart des spectacles.
J’y ai vu plein de choses fascinantes (ou pas d’ailleurs, mais c’est la règle, et franchement le ratio bon spectacle / mauvais spectacle excédait largement l’habituel 1/10).
J’ai vu Alain Buffard, j’ai vu Xavier Le Roy, je me souviens même avoir posé des questions stupides au « bord plateau » qui a suivi, et puis j’ai vu un spectacle de marionnettes fait par un japonais dont j’ai oublié le nom (je suis même pas tout à fait sûr qu’il était japonais) qui a décidément changé mon regard sur les marionnettes.
On pourrait dire que mon regard a été amené à changer à un rythme effréné au cours de ces années. C’était décidément un vrai privilège d’avoir à disposition un petit creuset de contemporanéité à deux pas de mon studio d’étudiant.
À bientôt ! Antoine Defoort. »
Merci Antoine !